Le “réseau” : ce mot revient comme un mantra dès qu’on parle de carrière dans la musique, l’audiovisuel ou le spectacle vivant. Mais faut-il forcément connaître du monde pour réussir ? Et que faire quand on démarre sans contact ? Spoiler : le réseau se construit. Et une école comme l’EMIC peut en être un véritable catalyseur.

Le réseau, entre fantasme et barrière invisible

Dans les industries culturelles, le réseau est souvent perçu comme une clé indispensable — et pour certains, comme un obstacle insurmontable.“Tout se joue au piston”, “si tu ne connais personne, tu n’as aucune chance” : ces phrases reviennent régulièrement dans la bouche des jeunes talents.

Une réalité que confirme l’enquête menée par l’EMIC : 58 % des étudiants estiment que ces métiers sont réservés à ceux déjà implantés dans le milieu. Seulement 42 % pensent qu’ils sont accessibles à condition de s’investir pleinement.

Cette perception nourrit un sentiment d’exclusion, surtout chez les étudiants issus de milieux éloignés de l’univers culturel. Pourtant, cette vision ne reflète qu’une partie de la réalité. 

En 2025, le “réseau” ne se limite plus à un carnet d’adresses

Avoir un réseau ne veut pas dire avoir des parents dans le cinéma ou un ami chez un label. En 2025, le réseau se construit sur la base d’une posture professionnelle, de la qualité des projets réalisés, et de la capacité à collaborer.

Un réseau solide repose sur trois piliers :  

- la réputation (ce que les autres disent de vous),  

- la confiance (liée à votre fiabilité et votre engagement),  

- et l’expérience (les situations où vous avez prouvé votre valeur).  

Ce sont souvent les projets concrets — stages, collaborations, alternance, ateliers — qui génèrent des rencontres durables. Ce n’est pas “qui tu connais” au départ qui compte, mais “ce que tu montres” dans la durée.

Comment l’EMIC aide ses étudiants à créer leur propre réseau

À l’EMIC, nous partons d’un principe simple : tout le monde peut construire son réseau, à condition d’être bien accompagné(e). Notre pédagogie intègre la création de liens professionnels dès le début du parcours.

🎓 Un réseau actif dès la formation  

- Intervenants issus du terrain (majors, producteurs, plateformes, agences)  

- Partenariats avec les grandes entreprises du secteur : Mediawan, Universal Music, Sony Music, Deezer, Believe, Pathé, France TV, etc.  

- Projets concrets réalisés en collaboration avec des professionnels

💼 Un pied dans le monde pro pendant la formation  

- Alternance ou stage obligatoire, avec un accompagnement au choix de structure adapté au projet  

- Suivi personnalisé avec l’équipe pédagogique, l’entreprise et l’étudiant  

- Ateliers de professionnalisation, rencontres, simulations, événements

🤝 Une communauté EMIC qui perdure après le diplôme  

- Réseau d’alumni « EMIC Force », actif dans les secteurs de la musique, du live et de l’audiovisuel  

- Evénements de networking, partages d’opportunités  

- Accès privilégié aux offres d’emploi et de mission via l’école

En d’autres termes, le réseau n’est pas une condition d’entrée : c’est un résultat que l’on construit au fil des expériences.

Ce qui compte vraiment : ce que vous apportez

Dans les industries créatives, les opportunités naissent souvent de rencontres imprévues. Mais ces rencontres ont une chose en commun : elles se concrétisent lorsque vous avez quelque chose à proposer.

Un bon projet, une posture pro, une capacité à comprendre les enjeux d’une entreprise, une curiosité sincère : voilà ce qui fait la différence.

L’EMIC aide les étudiants à révéler et à structurer leur valeur ajoutée. Parce que le meilleur réseau, c’est celui qu’on construit soi-même, pas celui dont on hérite.

En résumé

- Non, il n’est pas indispensable d’avoir un réseau pour réussir.  

- Oui, cela aide — à condition de savoir l’activer, le développer, le soigner.  

- À l’EMIC, nous considérons que le réseau est une compétence qui se travaille, pas un privilège réservé à quelques-uns.

👉 Vous rêvez de travailler dans la musique, l’audiovisuel ou le spectacle ? Vous n’avez “pas de contacts” ? Ce n’est pas un frein. C’est un point de départ.